Énoncé du labyrinthe :
Sur cette représentation digitalisée de l’activité du Soleil, les deux taches solaires ont en commun une particularité : Trouvez le chemin qui les relie sans jamais passer par un triangle.
Contrairement à la photographie numérique (voir LabyCratère) qui pèse énormément en terme de mémoire informatique, le tracé vectoriel utilisé pour ce document est insignifiant. Mais cette relative légèreté est inversement proportionnelle au temps de travail nécessaire à l’exécution : Six heures
à œuvrer sur LabyCratère peuvent aboutir
à un document lourd de 25000 Ko (25 Mo), mais les quelques 160 Ko obtenus pour LabySoleil ont pu demander plus de deux semaines de labeur.
Énoncé du labyrinthe :
Il « suffit » d’aller de A en B en suivant les tranchées sur le cube central. Hélas, quand on regarde un cube, on ne peut en voir au maximum que trois faces. C’est pourquoi, nous avons placé le nôtre devant trois miroirs perpendiculaires. Grâce à eux, vous pourrez découvrir les faces cachées du cube.
Dix ans ont passé depuis la création de mon tout premier labyrinthe à l’encre de Chine et j’étais bien incapable à l’époque d’imaginer que ma conversion à la couleur se passerait en douceur grâce aux ordinateurs. Comme j’étais bien incapable à ce moment de 1992 d’imaginer que six ans plus tard, j’en serai à modéliser de l’image de synthèse sur des objets virtuels.
Que nous réservent les dix prochaines années ?
(voir les autres : Cube-1, Cube-3, Cube-4)
Énoncé du labyrinthe :
Trouvez l’unique chemin qui relie la case blanche au centre de ce fossile en partant de la flèche et en n’empruntant que les cases claires.
La forme spiralée d’un coquillage modélisée sur Amapi et transformée en tracé vectoriel sur Freehand. Chaque petit carré est ensuite mis en couleur afin d’obtenir un tracé de chemins.
Énoncé du labyrinthe :
Trouvez l’unique chemin qui relie les deux grosses cellules en passant par les liaisons des plus petites.
Avant de concevoir le parcours du labyrinthe, il me faut parfois travailler le fond qui servira de support… Il s’agit alors d’une longue période de labeur qui peut paraître stérile mais qui reste pour moi une possibilité de travailler en pensant à tout autre chose puisque la multiplicité des motifs ne requiert aucune concentration particulière, c’est une sorte de travail à la chaîne qui pourtant ne peut pas être remplacé par l’automatisation de la machine ; certaines subtilités graphiques ne peuvent être obtenues qu’à la main.
Énoncé du labyrinthe :
Trouvez l’unique chemin qui relie
la case blanche au centre de ce calendrier aztèque incrusté de jade, de turquoises et d’obsidiennes
en ne passant que par les surfaces privées de mosaïque.
Partant d’une documentation présentant la Pierre du Soleil qui n’est qu’un bloc uniforme taillé dans le roc, je me suis amusé à interpréter tous les motifs sans exactement comprendre parfois ce que je dessinais, fleurs, visages, animaux, etc.
Énoncé du labyrinthe :
Ces deux plans perpendiculaires forment, en commun, un labyrinthe. On évolue dans les creux du plan orange et sur les pleins du plan bleu, le passage du creux au plein (et réciproquement) se faisant à l’intersection verticale. Les parties cachées sont à négliger.
Principe labyrinthique déjà utilisé pour le n°129 de la revue Ça m’intéresse, mais cette fois dans un format différent, et bien entendu avec un nouveau parcours, que je recommencerai pour l'hebdomadaire TéléStar.
Énoncé du labyrinthe :
Ces quatre robots, répartis aux quatre coins du labyrinthe, doivent trouver leur chemin pour rejoindre le centre. Mais ils réagissent différemment lors de la rencontre d’un carrefour : A tournera toujours à sa droite, B choisira toujours la gauche, C ira toujours tout droit devant lui et D, qui fonctionne un peu mieux, choisira aléatoirement sa direction (une impasse les bloque définitivement, sauf D, qui tente une autre solution). Un seul robot parviendra au centre, lequel ?
À l’origine, cette forme a été conçue pour constituer une grille de mots croisés que m’avait commandée SVJ. Mais comme celle-ci a été jugée trop difficile pour les lecteurs, j’ai évidé les cases et l’ai transformé en simple labyrinthe de palissades.
Énoncé du labyrinthe :
Attention, poisson ! Quel chemin doivent emprunter ces deux coccinelles pour se rejoindre, sans tomber dans l’eau ?
Inspiré d’une œuvre de M.C. Escher intitulée Trois Mondes. Une seconde version verra le jour huit ans plus tard (voir LabyCoccinelles).